Depuis octobre dernier, un débat sur la liberté d’expression à envahir la toile médiatique québécoise suite aux dénonciations des élèves de l’Université d’Ottawa concernant l’utilisation du “N” word par Verushka Lieutenant-Duval, une chargée de cours. Un grand nombre d’enseignants québécois se sont ainsi réunis pour signer une pétition en appui à l’enseignante ottawaise.
Dans la foulée, certains des enseignants ayant signé cette pétition semblaient causer du remous parmi le corps d’étudiants montréalais pour avoir, eux aussi, été sujets de controverse en raison de propos tenus lors de leurs cours et envers des élèves.
Je me suis entretenue avec 3 membres des Béliers Solidaires, un mouvement étudiant né des débats actuels. Hiba Jabouirik (elle), Abir Samir (elle) et Gio Olmos (iel) nous peignent le portrait d’un système d’éducation encore loin du compte en termes d’inclusion.
Depuis octobre dernier, un débat sur la liberté d’expression à envahir la toile médiatique québécoise suite aux dénonciations des élèves de l’Université d’Ottawa concernant l’utilisation du “N” word par Verushka Lieutenant-Duval, une chargée de cours. Un grand nombre d’enseignants québécois se sont ainsi réunis pour signer une pétition en appui à l’enseignante ottawaise.
Dans la foulée, certains des enseignants ayant signé cette pétition semblaient causer du remous parmi le corps d’étudiants montréalais pour avoir, eux aussi, été sujets de controverse en raison de propos tenus lors de leurs cours et envers des élèves.
Je me suis entretenue avec 3 membres des Béliers Solidaires, un mouvement étudiant né des débats actuels. Hiba Jabouirik (elle), Abir Samir (elle) et Gio Olmos (iel) nous peignent le portrait d’un système d’éducation encore loin du compte en termes d’inclusion.